Quantcast
Channel: Jean-Pierre CHEVALLIER » Général de Gaulle
Viewing all articles
Browse latest Browse all 3

Pestilentielles franchouillardes, socialisme internationaliste et propagande

$
0
0

Pour comprendre ce qui se passe dans le marigot franchouillard lors de cette campagne pestilentielle hors normes, il faut prendre un peu de recul et se référer à tout ce que j’ai écrit à propos de la propagande de la nomenklatura qui s’inscrit dans ce socialisme internationaliste qui domine déjà les médias dans la plupart des pays développés, Etats-Unis inclus, comme le montre l’élection mouvementée du Donald.

L’efficacité de cette propagande de la nomenklatura est quand même étonnante, que ce soit dans le domaine politique, économique ou financier, surtout pour ce qui concerne les banques (cf. mes analyses), le tout étant lié…

L’exemple le plus hénaurme est bien entendu l’acceptation de cette monnaie unique contre nature qu’est l’euro par une large majorité de… 300 millions d’irréductibles idiots !

Donc, comme en économie, les manipulations de l’opinion publique par les médias sont extrêmement efficaces pour ce qui concerne les élections aux postes clés que sont les Présidentielles en France.

Quels sont les grands manipulateurs ?

La réponse à cette question est relativement simple quand on applique l’adage policier : à qui profite le crime ?

Ce sont les grandes fortunes qui se sont faites ou qui se sont accentuées au cours de ces dernières années et décennies dans des secteurs novateurs comme par exemple les téléphones portables, le luxe, les médias et des secteurs traditionnellement familiers aux hommes politiques comme par exemple l’immobilier et les travaux publics, sources de corruption assez facilement camouflable.

Tel Geppetto, cette nomenklatura tire les ficelles des marionnettes que sont les candidats à la Présidence de la Ripoublique.
Elle est très puissante, elle réussit généralement à atteindre ses objectifs et elle est active depuis longtemps.

Sa première grande victime a été le général de Gaulle qui s’est fait sortir prématurément sans ménagement par celui qui l’avait pourtant épaulé fidèlement et avec compétence pendant de longues années : Georges Pompidou qui était alors le candidat préféré de cette nomenklatura face à une concurrence assez forte.

60 ans plus tard, la nomenklatura a choisi le McRon hurleur pour défendre ses intérêts.

Comme Pompidou, il a fait ses preuves dans l’administration dite haute puis en œuvrant pendant 4 ou 5 ans à la banque Rothschild, devenue la dernière banque privée française, et qui respecte largement les règles prudentielles préconisées par ce bon vieux Greenspan, ce qui est une référence.

Pompidou a bien réussi dans sa tâche et pour cela il s’est appuyé sur une dévaluation du franc de 12,5 % dès le 8 août 1969 qui a permis à la France de prolonger cette période de forte croissance qui allait constituer les 30 Glorieuses avec pour secteurs porteurs l’industrie, l’immobilier et les travaux publics qui en ont été les grands gagnants, à l’origine des grandes fortunes des personnes les plus influentes de la nomenklatura.

Cependant, en 60 ans, cette nomenklatura a basculé d’un capitalisme libéral très ancré à droite (qui a bénéficié à tout le monde, et surtout à l’ensemble des Français dont le niveau de vie a fortement progressé) vers un socialisme internationaliste très ancré à gauche mais intégrant aussi une certaine forme de libéralisme caractérisée par l’adoption de positions dites progressistes (sous le prétexte de liberté) avec par exemple l’acceptation de réfugiés et de musulmans en masse (avec la liberté de circulation), la liberté de mœurs qui étaient condamnées auparavant (comme l’homosexualité), etc.

Ce socialisme internationaliste profite surtout à cette nomenklatura dominée par ses grands bénéficiaires qui en tirent de grandes fortunes mais il est parfois contesté sur certains points comme par exemple les conséquences sur l’environnement (avec la lutte contre le prétendu réchauffement climatique) et le principe de précaution qui ont pour conséquences de bloquer des innovations.

Il se développe surtout au détriment de l’ensemble de la population dont le niveau de vie ne progresse plus et qui est victime de certains aspects de ce libéralisme mal ordonné comme par exemple l’ouverture excessive du commerce international (la mondialisation) qui conduit à la désindustrialisation des pays développés et qui y maintient un chômage de masse.

Pour l’instant, seuls les électeurs américains ont bien réagi contre ce socialisme internationaliste en élisant le Donald mais il apparait clairement que ses opposants sont devenus très forts au point de pouvoir contrer sa politique surtout grâce aux médias et à toute la nomenklatura qui vit confortablement au détriment de ce qu’on appelait la majorité silencieuse qui a enfin réagi positivement face à la propagande (de cette nomenklatura) qui se développait inexorablement.

Les Européens ne réagissent presque pas mais la nomenklatura commence quand même à avoir des difficultés à faire passer sa propagande comme le montrent les réactions d’électeurs de plus en plus mécontents qui sont alors accusés de sombrer dans un populisme condamné dans tous les médias.

C’est de plus en plus le foutoir, surtout en France qui n’est plus la France comme l’a dit le Donald.
Les Pestilentielles viennent d’atteindre un nouveau sommet inimaginable avec la saga des Fillion !
Et ce n’est pas fini…


Viewing all articles
Browse latest Browse all 3

Latest Images





Latest Images